Ces trois créations (musicale, littéraire et informatique) en miroir comme un triptyque artistique:

C’est un peu comme si on avait trois instruments différents qui jouent chacun leur partition, mais au fond ils chantent la même chanson. La musique tisse des émotions dans l’air, la littérature tisse des idées dans l’esprit, et le code tisse des actions dans les circuits. Chacun a son langage, ses structures, mais tous cherchent à donner une forme à quelque chose d’invisible. Et ce qui est joli là-dedans, c’est qu’à la fin, on passe de l’abstrait au concret, peu importe l’instrument.
Ces trois formes de création paraissent éloignées, mais elles partagent une même ossature : un langage, une structure, et un geste de composition.

1. La production musicale
  • Langage : notes, rythmes, harmonies.
  • Structure : mouvements, refrains, variations.
  • Geste : interprétation, improvisation, orchestration.
    La musique traduit des émotions en sons, mais elle repose toujours sur une logique interne — la grammaire des tonalités et des cadences.

2. La production littéraire Langage : mots, syntaxe, figures de style. Structure : chapitres, narrations, arguments. Geste : invention, narration, dialogue.
L’écriture construit un univers de sens. Comme en musique, elle joue sur tension et résolution, rythme et silence.
3. La production informatique Langage : langages de programmation, algorithmes. Structure : modules, fonctions, architectures. Geste : coder, déboguer, optimiser.
Le code est une littérature opérationnelle : il raconte à la machine ce qu’il faut faire, avec une précision 

Art Pictural

L'expression d'une vie heureuse et d'une vision lumineuse à travers ses tableaux des beautés d'êtres chers, de la nature et des gestes du quotidien.

Label

L'expression de la candeur du dynamisme et de l'authentique par des airs originaux de musique de style hybride classique contemporain, cinématique  et blues-pop-rock.

Éditions

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4. Les ponts entre elles
  • Partition commune : musique, texte, code sont des suites de symboles à interpréter.
  • Temporalité : toutes organisent le temps (le déroulé d’une mélodie, d’un récit, d’un programme).
  • Esthétique et rigueur : l’équilibre entre créativité et contrainte — une fugue obéit à la même tension que l’argument juridique ou la syntaxe informatique.
  • Interprétation : un musicien joue, un lecteur lit, un ordinateur exécute — trois formes d’activation d’une œuvre.

5. Une image pour relierOn pourrait voir ces trois mondes comme des algèbres de signes :
  • La musique fait vibrer l’air.
  • La littérature fait vibrer la pensée.
L’informatique fait vibrer la machine.
Et toutes trois traduisent l’invisible en formes tangibles.

6. L'analogie qui relie ces trois créations en miroir comme un triptyque artistique?
  • C’est un peu comme si on avait trois instruments différents qui jouent chacun leur partition, mais au fond ils chantent la même chanson. La musique tisse des émotions dans l’air, la littérature tisse des idées dans l’esprit, et le code tisse des actions dans les circuits. Chacun a son langage, ses structures, mais tous cherchent à donner une forme à quelque chose d’invisible.
  • Et ce qui est joli là-dedans, c’est qu’à la fin, on passe de l’abstrait au concret, peu importe l’instrument.