Si nous voulons cesser d'êtres esclaves de nos passions, prisonniers de nos peurs ou victimes de la malice humaine, il y a une voie.  Si nous cherchons un sens plus humain pour l'humanité, et plus digne pour l'humain, une recherche intransigeante de vérité, et de compassion dans les rapports humains, une démarche d'ouverture aux valeurs intérieures, invisibles pour les yeux et inqualifiables mèneront à coup sûr à une culture des projets d'éternité. 

Inspirational journey, Michel Maher, MP3 © 2003.   

La spiritualité correspond à une recherche d'un sens hors d'un cadre défini purement utilitariste.  Tout en étant une démarche intéressante, celle-ci exige pour être rigoureuse une connaissance des principales religions car il faut faire attention aux faux prophètes et au syncrétismes (mélange plus ou moins cohérents d'éléments disparates de plusieurs religions, philosophies et idéologies présenté sous forme de nouvelle foi ou nouvelle religion).

Exemple: Aimé Hannan

Global Catholic Network: Site dédié à la religion catholique. WebTV - Webradio liens et images http://www.ewtn.com/index.asp

Ça n'a pas d'importance....

« L'être humain est insensé, illogique, égocentrique. Cela n'a pas d'importance, aime le! Si tu fait le bien, on t'attribuera des intentions égoïstes. Cela n’a pas d'importance, fais le bien. Si tu réalises tes objectifs, tu trouveras de faux amis et de vrais ennemis. Cela n’a pas d'importance, réalise-les. Le bien que tu fais sera oublié dès demain. Cela n'a pas d'importance, fais le bien.   L'honnêteté et la sincérité rendent vulnérable! Cela n'a pas d'importance, sois loyal et honnête! Ce que tu as mis des années à construire peut être détruit en un instant. Cela n'a pas d'importance, construis le !  Si tu aides les gens, ils seront fâchés contre toi. Cela n'a pas d'importance, aides les!  Donne au monde le meilleur de toi même et il te maltraitera. Cela n'a pas d'importance, donne le meilleur de toi même!»  (Mère Teresa de Calcutta)

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Pourquoi l'être suprême n'aurait-il pas le droit de s'adresser aux différents peuples selon leur culture.  

Catholique - Musulmans - Hébreux - bouddhistes

Abbé Pierre (voir site)

Père et fils.

Un de ces quatre, le père d’une très riche famille amène son fils à la campagne pour lui montrer comment vivent les gens pauvres. Ils passent quelques jours sur la ferme d’une famille peu fortunée.  Au retour, le père demande à son fils. : “ as-tu apprécié  ton séjour? “  -- C’était fantastique papa! “ As-tu vu comment vivent ces pauvres gens ? demande encore le père.  Bien sûr ! “ Répond le fils  -- Alors qu’a-tu appris?  Le fils lui répond  “J’ai vu que nous n’avions qu’un chien alors qu’ils  en ont quatre. Nous avons une piscine qui fait la moitié du jardin et ils ont une grande crique.   Nous avons des lanternes dans notre jardin et eux ont des étoiles partout dans le ciel.  Nous avons une immense galerie à l’avant et eux ils ont l’horizon.  Nous avons un domaine à entretenir mais eux ont des champs pour courir et s'amuser à perte de vue.  Nous avons des serviteurs que l’on paie alors qu’eux servent les autres presque gratuitement pour leur plaisir ou avec rémunération pour gagner leur vie et lorsque des gens les servent c'est pour le plaisir de le faire par amour ou par plaisir.   Nous achetons nos denrées de gens que nous ne connaissons pas et eux les cultivent, connaissant chaque composante de ce qu'ils mangent.  Nous avons des murs autour de la propriété pour nous protéger.   Eux ont des amis qui les protègent. “   Le père en resta muet.   Le fils rajouta, “ Merci Papa de m’avoir montrer tout ce que nous n’avons pas !".  

Trop souvent, nous pensons posséder des biens alors que ce sont eux qui nous possèdent, (avez vous une voiture préparez vous aux entretiens, assurances et autres tracasseries, même chose si vous avez d'autres grands biens sans passer par les surplus de liquidités dont le rendement n'est jamais assez ) .  Trop souvent aussi, nous oublions ce qui nous est acquis pendant que nous sommes concentrés sur ce que nous n’avons pas.   Ce qui est un objet sans valeur pour un peut très bien être un trésor pour un autre, et bizarrement on commence à l’apprécié que lorsqu’un autre y montre de l’intérêt.  Nous soupirons d’avoir à attendre un automobiliste plus lent que nous même, peut-être nous sauve-t-il la vie d’un autre accident qui pourrait avoir eu lieu si l’on aurait eu toute liberté d’aller plus vite

C’est à ce demander ce qui arriverait si ont rendaient grâce ou l’on montrait notre appréciation tout ce  que nous avons au lieu d’en vouloir plus.  Apprenez à apprécier ce que vous  avez ici maintenant,  Et pendant que vous y êtes appréciez donc vos amis.   À quand remonte la fois où vous avez dit à un ami que vous l’apprécié, pour rien comme ça simplement parce que c’est vrai ou qu’il sait vous écouté ou qu’il vous a rendu service ou peu importe.  Ou encore si cela vous gênes, quand pour la dernière fois avez vous offert de prendre avec lui un café dans votre horaire chargé simplement pour parler... 

Mais certes, des pluies de compliments sont déversés sur nos morts qui ne les entendent pas encore pour rien puisque vous dites ça à des familles qui savent déjà pertinemment tout ça.  Pourquoi soudainement ces élans de compassion alors que les gens que vous connaissez ont tellement besoin de leur vivant, d’entendre quelques mots gentils de temps en temps…et ils ne vous en voudront jamais même si vous vous répétez en ce domaine pour autant que vous soyez sincère...Quand vous êtes vous sincèrement intéressé à lui (elle) et ses besoins, ses rêves ou ses problèmes.  Comment aimer ce que l'on ne connaît pas ? Vos amis, les connaissez vous vraiment assez pour vous vanter d'être leur ami ?   

Tout n’est  qu’une question de perspective, penserez vous ?  On  pense beaucoup à l’avoir, cet avoir qui disparaîtra un jour volé ou emporté par l’usure ou la lassitude;   si l’on pensait plus à l’être, quel rendement sur investissement  puisque nous garderions les fruits de l'amitié jusqu’à la mort et même au delà si nous sommes croyants…